Note Susane calls Zurlauben a Walloon regiment, but the quote below calls it German.I thought I would try and identify the French regiments, I found the the following in Susane (sometimes has errors)
La Marche 1047 V8-229 - Boyne
Tournaisis 1044 V8-225 - no Irlande mentioned
Forez 1042 V8-222 - Boyne, Limerick
Faméchon (Walloon) 1025 V8-208 Boyne, Limerck
Mérode (Walloon) 1067 V8-250 Boyne not mentioned
Zurlauben (Walloon) 1031 V8-214 Boyne, destroyed at Blenheim
first number is the reference in Susane, the second is the volume and page number.
The colonels and the life of the regiment
La Marche (1684-1763) 1684 Armand-Charles de Gontaut, baron de Biron
Tournaisis (1684-1775) 1684 marquis de Brouilly
Forez (1684-1775) 1684 Jean-Noël de Barbezières, comte de Chémerault
Faméchon (1677-1762) 1677 Ignace de Belvalet, comte de Famechon
Mérode (1688-1698) 1688 de Gand-Vilain, comte de Mérode
Zurlauben (1684-1704) 1685 Béat-Jacques de la Tour-Châtillon, comte de Zurlauben
Not sure at this point if any of these commanded their regiments at the Boyne or were just the usual titular appointments. Zurlauban was mortally wounded at Blenheim.
- Béat-Jacques II, fils du précédent, se distingua tellement dans le régiment de Zurlauben , que Louis XIV lui donna, en 1687 , la seigneurie du Val-de-Ville (Haute-Alsace), laquelle fut érigée en baronnie. Il leva, en 1687, le régiment allemand de Zurlauben , à la tête duquel il servit en Catalogne. Nomme, en 1690 , brigadier des armées du roi, il passa en Irlande, et donna des preuves de la plus éclatante bravoure à la bataille de Limmerick, où son régiment fut mis en pièces. Il commandait, en 1692 , une brigade à la bataille de Steinkerque, où il fut blessé : et la même année le roi éleva au titre de comté la baronnie de Ville. Le comte de Zurlauben se distingua tellement à la bataille de Nerwinde, que la gloire de cette journée fut principalement due à la valeur de sa brigade. Maréchal de camp, en 1696 , il servit aux sièges de Mons, de Namur, et étant avec le comte de Jessé, commandant de la place de Mantoue , il en fit lever le blocus, que l'ennemi formait depuis un an. Il a écrit de sa main des Mémoires sur la défense de cette place. Nommé, en 1701, lieutenant-général, il fit à la bataille de Hochstet (1704) des efforts héroïques. Quoiqu'il eut reçu sept blessures profondes, s'étant mis à la tête de la gendarmerie, il avait trois fois repoussé l'ennemi ; mais n'étant point secondé il fut obligé de se retirer. Le roi, informé de sa conduite, lui fit écrire par le ministre de la guerre :
« Sa Majesté m'a commandé de vous dire que vous serez content de la manière dont elle a intention de vous dédommager; songez à guérir promptement et à venir recevoir la récompense de vos services. »
La lettre est du 20 sept. ; et, avant qu'elle pût arriver à son adresse, Zurlauben mourut à Ulm en Souabe, des suites de ses blessures, ne laissant que des filles , dont l'une épousa, en 1711, Henri-Louis de Choiseul.
Graf Bretlach wrote:Captain I posted info on the regiments previously (not sure where) but this is it again.
Note Susane calls Zurlauben a Walloon regiment, but the quote below calls it German.I thought I would try and identify the French regiments, I found the the following in Susane (sometimes has errors)
La Marche 1047 V8-229 - Boyne
Tournaisis 1044 V8-225 - no Irlande mentioned
Forez 1042 V8-222 - Boyne, Limerick
Faméchon (Walloon) 1025 V8-208 Boyne, Limerck
Mérode (Walloon) 1067 V8-250 Boyne not mentioned
Zurlauben (Walloon) 1031 V8-214 Boyne, destroyed at Blenheim
first number is the reference in Susane, the second is the volume and page number.
The colonels and the life of the regiment
La Marche (1684-1763) 1684 Armand-Charles de Gontaut, baron de Biron
Tournaisis (1684-1775) 1684 marquis de Brouilly
Forez (1684-1775) 1684 Jean-Noël de Barbezières, comte de Chémerault
Faméchon (1677-1762) 1677 Ignace de Belvalet, comte de Famechon
Mérode (1688-1698) 1688 de Gand-Vilain, comte de Mérode
Zurlauben (1684-1704) 1685 Béat-Jacques de la Tour-Châtillon, comte de Zurlauben
Not sure at this point if any of these commanded their regiments at the Boyne or were just the usual titular appointments. Zurlauban was mortally wounded at Blenheim.
This might be interesting for this period, my transcription from the Biographie universelle.
- Béat-Jacques II, fils du précédent, se distingua tellement dans le régiment de Zurlauben , que Louis XIV lui donna, en 1687 , la seigneurie du Val-de-Ville (Haute-Alsace), laquelle fut érigée en baronnie. Il leva, en 1687, le régiment allemand de Zurlauben , à la tête duquel il servit en Catalogne. Nomme, en 1690 , brigadier des armées du roi, il passa en Irlande, et donna des preuves de la plus éclatante bravoure à la bataille de Limmerick, où son régiment fut mis en pièces. Il commandait, en 1692 , une brigade à la bataille de Steinkerque, où il fut blessé : et la même année le roi éleva au titre de comté la baronnie de Ville. Le comte de Zurlauben se distingua tellement à la bataille de Nerwinde, que la gloire de cette journée fut principalement due à la valeur de sa brigade. Maréchal de camp, en 1696 , il servit aux sièges de Mons, de Namur, et étant avec le comte de Jessé, commandant de la place de Mantoue , il en fit lever le blocus, que l'ennemi formait depuis un an. Il a écrit de sa main des Mémoires sur la défense de cette place. Nommé, en 1701, lieutenant-général, il fit à la bataille de Hochstet (1704) des efforts héroïques. Quoiqu'il eut reçu sept blessures profondes, s'étant mis à la tête de la gendarmerie, il avait trois fois repoussé l'ennemi ; mais n'étant point secondé il fut obligé de se retirer. Le roi, informé de sa conduite, lui fit écrire par le ministre de la guerre :
« Sa Majesté m'a commandé de vous dire que vous serez content de la manière dont elle a intention de vous dédommager; songez à guérir promptement et à venir recevoir la récompense de vos services. »
La lettre est du 20 sept. ; et, avant qu'elle pût arriver à son adresse, Zurlauben mourut à Ulm en Souabe, des suites de ses blessures, ne laissant que des filles , dont l'une épousa, en 1711, Henri-Louis de Choiseul.
Only one of them if you except Zurlauben, actually : Mérode became the Tournon regiment shortly upon its return from Ireland and was commanded by a Sieur de Pasquier de Tournon. The regiment was disbanded in 1698 after the peace of Ryswick, then re-raised in 1702 by Pasquier de Tournon. It became Payssac in 1709 and was disbanded for good in 1714 at the close of the WSS.Captain of Dragoons wrote:Hello Arthur,
I take it most of these regiments were disbanded after the WSS?
Edward
The line's a bit busy sometimes, Lou's been grumpy lately and those damn carrier pigeons are nowhere near as reliable as they used to be...j1mwallace wrote:Very interesting Arthur!
you must have a phoneline back to Louis XIV
I don't know of any other Walloon regiment in blue coats, but that doesn't necessarily mean much. Before the turn of the 18th century, foreign regiments do not seem to have been assigned a coat colour that was specific to their nationality (the Irish being the only notable exception, but their case was a particular one). For instance, the Swiss wore just about every colour in the rainbow before they settled for red in the early C18th : most of them had blue coats faced red before the WSS, but Greder and Salis had red coats faced green, Courten was in yellow faced red and Reynold in red faced yellow, while Schellemberg had green faced red. The Germans mostly wore blue, but Sürbeck/La Marck had yellow coats faced red in the 1690's. So I wouldn't over-interpret Zurlauben's switch to blue coats in 1685, all the more so as the Walloons do not appear to have had a distinctive coat colour themselves. Which leads me to...Graf Bretlach wrote:Thank you Arthur, are these early etats available online? I think the earliest I have is 1720.
would the blue/red coat suggest German or did some of the Walloons have blue too.